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Histoire d’une fausse accusation

Sexisme anti-hommes

Sexisme anti-hommes


Qu'une part du féminisme soit légitime, entièrement d'accord: les femmes ont été déclassées par 150 ans de Code Napoléon, qui leur a interdit toute autonomie sociale et économique. Comme une majorité d’hommes, j’ai soutenu ce féminisme-là. Nous avons voté pour que les femmes aient leurs droits. Mais une autre part, d'inspiration marxiste et stalinienne, veut tout simplement détruire les hommes et le masculin. Ce sexisme est insupportable et criminel, et favorise les débordements tels que les fausses accusations contre les hommes.


En voici quelques exemples (il y en a d'autres dans le livre "L'homme cible", et les références des pages internet y figurent):

 

  1. « Vivre dans cette société, c'est au mieux y mourir d'ennui. Rien dans cette société ne concerne les femmes. Alors, à toutes celles qui ont un brin de civisme, le sens des responsabilités et celui de la rigolade, il ne reste qu'à renverser le gouvernement, en finir avec l'argent, instaurer l'automation à tous les niveaux et supprimer le sexe masculin.


  2. Grâce au progrès technique, on peut aujourd'hui reproduire la race humaine sans l'aide des hommes, ou d'ailleurs sans l'aide des femmes, et produire uniquement des femmes ; conserver le mâle n'a même pas la douteuse utilité de permettre la reproduction de l'espèce.


  3. Le mâle est un accident biologique ; le gène Y (mâle) n'est qu'un gène X (femelle) incomplet, une série incomplète de chromosomes. En d'autres termes, l'homme est une femme manquée, une fausse couche ambulante, un avorton congénital. Être homme c'est avoir quelque chose en moins, c'est avoir une sensibilité limitée. La virilité est une déficience organique, et les hommes sont des êtres affectivement infirmes. L'homme est complètement égocentrique, prisonnier de lui-même, incapable de partager, ou de s'identifier à d'autres ; inapte à l'amour, à l'amitié, à l'affection, la tendresse. L'élimination de tout mâle est un acte juste et bon, un acte hautement bénéfique pour les femmes ainsi qu'un acte de pitié.


  4. L'homme est par nature une sangsue, un parasite affectif, et aucune raison éthique ne justifie de le laisser vivre et prospérer car personne n'a le droit de vivre aux dépens de quelqu'un d'autre. De même que la vie des humains prime celle des animaux pour la seule raison qu'ils sont plus évolués et doués d'une conscience supérieure, de même la vie des femmes doit primer celle des hommes. »


Valérie Solanas, "SCUM Manifesto"



En 2004, la responsable suédoise des maisons d’hébergement pour femmes déclarait:


  1. “Dire d’un homme qu’il est un animal, c’est encore le flatter. En fait, c’est une machine, un godemiché ambulant”.

     

D'une canadienne prise en charge par un centre d'accueil pour femmes:


  1. « Je suis une mère célibataire avec deux enfants. Lorsque j'ai pris la décision de rompre les liens du mariage (par ennui), j'ai consulté trois avocats différents dans le but de me renseigner. Ils m'ont tous trois posé la même question concernant d'éventuels abus entre les mains de mon mari. Ma réponse fut que jamais, et d'aucune manière ce soit, mon conjoint n'avait abusé de moi. À ma grande stupéfaction, leurs réactions furent unanimes. À moins d'accuser mon conjoint d'abus, jamais je n'obtiendrais la garde exclusive de mes enfants. Ils m'ont également raconté comment ces allégations déposées contre mon conjoint allait suffire pour m'approprier la TOTALITÉ de ses biens et encore davantage. Lorsque je m'inquiétais à savoir comment prouver ces allégations, je me suis fait simplement répondre que les preuves n'étaient pas requises à la cour, et qu'il suffisait de me rendre à une centre de crise pour femmes, que j'allais y obtenir tout le support nécessaire à l'appui dans mon histoire de mauvais traitements.


  2. Issue d'une famille où les valeurs religieuses étaient de rigueur, j'étais très mai à l'aise avec ces conseils. Ensuite, les avocats m'ont avisé que pour bénéficier pleinement de l'aide juridique, je n'avais pas d'autre option que de déposer des allégations contre mon mari. Dépourvue des ressources monétaires pour assumer les honoraires professionnels des avocats, j'ai suivi leurs conseils. De reculons, j'ai emmené les enfants au centre de crise. Je ne pouvais pas croire ce que je voyais. De l'extérieur, tout semble correspondre à l'image projetée auprès des bailleurs de fonds. Cependant, rien n'est plus éloigné de la vérité.


  3. Cet endroit pourrait être assimilé à un lieu de culte, à défaut d'un meilleur terme. Dénigrer les hommes y était une priorité et la direction de l'établissement semblait très enthousiaste à l'idée de recruter une autre femme pour joindre les rangs de celles qui les détestent. Elles disposaient même d'un scénario infaillible pour gagner à la cour. En suivant le mode d'emploi suggéré, je m'assurais de remporter non seulement la garde exclusive des enfants mais aussi l'automobile, la maison, la terre et des ressources financières pour vivre confortablement jusqu'à la fin de mes jours.


  4. Dès que ma décision de suivre leur plan fut connue, les événements se sont précipités. J'ai vu l'homme avec qui j'avais été marié être détruit tant sur le plan émotionnel, financier que physique. J'ai obtenu la garde exclusive des enfants et, avec l'ordonnance de non communication, obtenu également la maison et l'automobile de manière à préserver le rythme de vie habituel des enfants.


  5. Non seulement ai-je obtenu une ordonnance de non communication à son endroit mais il fut également reconnu coupable de voie de fait. L'homme qui avait participé activement à la création de nos enfants, à leur entretien et qui les aimaient tendrement, était par la loi maintenu à bonne distance d'eux et tenu de me verser (davantage que j'en avais besoin) une pension pour leur entretien. Tel que je l'ai mentionné, je l'ai détruit, ne lui laissant que des miettes pour survivre. »

 

Et encore:


  1. « Des dizaines de milliers d'américaines ont réussi à se souvenir avoir été violées par leur père dans leur plus tendre enfance. L'ennui, c'est que dans une grande partie des cas, les souvenirs ont été suggérés (consciemment ou non) par les thérapeutes eux-même. Des milliers de bons pères de famille se sont ainsi retrouvés injustement accusés d'avoir commis l'irréparable. Aujourd'hui, les fausses accusations de viol ou d'inceste n'ont pas disparu pour autant. Depuis quelques années on assiste même à une multiplication des allégations mensongères.


  2. « On voit pas mal de fausses victimes dans les affaires de viol entre concubins, quand la séparation se passe mal », explique un policier. Parfois, les divorces sont aussi l'occasion pour les mères d'accuser leur ex-mari d'attouchements sur leurs enfants, afin qu'il ne puisse exercer son droit de visite. « Ces affaires surviennent bien plus souvent », constate le policier. »

 
Au Québec encore, les femmes ­ surtout les immigrantes ­ sont prises en main par des radicales-féministes. Elles leur donnent un faux tube de rouge à lèvre, dans lequel on trouve toutes les recommandations paranoïaques pour la guerre des sexes :


  1. « Entendez-vous avec des voisins pour qu'ils appellent la police si des bruits suspects proviennent de votre domicile Ne révélez à personne le fait que vous avez un compte en banque (secret) et assurez-vous que la banque ne vous envoie rien par la poste Déposez un sac d'effets personnels chez une personne de confiance. Mettez-y de l'argent, un jeu de clés, des copies de vos documents importants Pour chaque enfants, emportez un objet auquel il est attaché : peluche, jouet, livre, par exemple Demandez à vos amis, vos voisins et votre propriétaire d'appeler la police s'ils aperçoivent votre partenaire près de votre domicile (après divorce, si le conjoint est interdit de communication).

 

D'autres exemples sont cités dans le livre de John Goetelen (voir page Le livre), avec les liens internet.